Il y a toi et moi et le désir que t'as pour elle,
Le problĂšme c'est que je ne sais plus pour qui de nous deux tu te fais belle.
Tu dis mon amour reste mais que tu te sens infidĂšle,
Ăa se voit tout de suite que malgrĂ© toi ses airs de femmes te donnent des ailes.
Tu dis que tu vis la bourgeoisie des sensations
Jamais choisi entre homme et femme ça a peut-ĂȘtre du bon
Le truc qui cloche chez moi c'est que mon cĆur est Ă toi,
Et te savoir nue dans ses bras je supporterais pas.
C'est vrai que j'ai choisi de t'aimer sans savoir,
Si de l'homme ou la femme le corps tu voulais avoir.
C'est vrai que je t'ai aimée toujours sans faire d'histoire,
Sans chercher de pourquoi, je gardais quand mĂȘme espoir.
Tu dis que tu vis la bourgeoisie des sensations,
Jamais choisi entre homme et femme ça a peut-ĂȘtre du bon.
Le truc qui cloche chez moi c'est que mon cĆur est Ă toi,
Et te savoir nue dans ses bras je supporterais pas.
J'étais le premier gars et au fond j'aimais ça,
Penser qu'avant moi dans ton cĆur aucun n'en avait fait de dĂ©gĂąts.
Mais j'aurais jamais cru qu'une simple histoire de c*l
Allait menacer tous ses projets qu'on avait en vue.
Tu dis que tu vis la bourgeoisie des sensations,
Jamais choisi entre homme et femme ça a peut-ĂȘtre du bon.
Le truc qui cloche chez moi c'es que mon cĆur est Ă toi.
Et te savoir nue dans ses bras je supporterais pas
Tu dis que tu vis la bourgeoisie des sensations,
Jamais choisi entre homme et femme ça a peut ĂȘtre du bon.
Qu'elle te fasse de l'effet ça je ne te changerai
pas,
Mais entre elle et moi, faudra faire un choix
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