Il est un ange qui demeure en Moi,
Le plus beau des voyages,
OĂč je vis de ce chant d'espĂ©rance,
Aujourd'hui, mon songe voit enfin le jour,
Et me pousse loin,
Au-delĂ de l'ombre,
Libéré d'une armure de rouille,
Libéré de mes sombres désirs,
Libre enfin comme un oiseau en vol,
Je désire tant vous trouver,
Que sĂšchent tes larmes de douleur,
Que leur goût salé sÚche sur mes lÚvres,
Nos années d'isolement sont révolues,
Laisse la douleur venir en Toi,
Laver ton chagrin,
L'Ombre des ténÚbres froide comme l'hiver,
L'ombre ténébreuse habitait en Moi,
Une ombre qui aurait pu me glacer les sangs,
Si je n'avais laissé ma flamme de Foi,
Brûler mon chagrin,
Elle s'élÚve dans la nuée des Anges,
Bien au delĂ du ciel,
Déchirant mon passé,
Et brûlant mon chagrin,
Les tĂ©nĂšbres n'ont plus prise sur mon Ăme,
Ma solitude vient de périr,
Ma solitude est morte.
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment