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Paroles officielles de la chanson «L'homme De L'aube» :

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Paroles officielles de la chanson "L'homme De L'aube"

... Frederic Nietzsche

From Rozenlaui to Austerlitz, from Vienna to Vincennes
Studies of philosophy at Leipzig, which could not mistake
His father died of a dead Christian
Lost his head, he made the soul
And let the orphan care, good care of his mother

His mother, his wife, his sister, three women
Three mélagomadames
Some friends to death, love life, psychodrames
He did not want to have air
But he seemed to have suffered a lot
Some friends to death, love life, man of dawn

It is a long history that this story was
The Human dawn
He came to see me, he came to sit, man of dawn
In the avenue, at the edge of the wood
In the high hills of the Engadine
LORD course, eternal return, the man at dawn

When I saw him, I was surprised
As long as he was naked and tired
Empty, foutu, morfondu, like an old cello

It limp
It limp
So he was tired
So he was tired
From walk

It sanglotait arguing, the man at dawn
But he went on, the front forward, the man at dawn
In the avenue, at the edge of the wood
In the high hills of the Engadine
He came, one last time, the man at dawn

... Frédéric Nietzsche

De Rozenlaui à Austerlitz, de Vienne à Vincennes
Des études de philo à Leipzig, que l'on ne s'y méprenne
Son pére est mort d'une mort chrétienne
Perdu la tête, il a rendu l'âme
Et l'orphelin laisse au soins, aux bons soin de sa mére

Sa mére, sa femme, sa s?ur, trois femmes
Trois mélagomadames
Des amis à mort, des amours à vie, des psychodrames
Il ne voulait pas en avoir l'air
Mais il avait l'air d'avoir pas mal souffert
Des amis à mort, des amours à vie, l'homme de l'aube

C'est une longue histoire que cette histoire-là
Celle de l'homme de l'aube
Il est venu me voir, il est venu s'asseoir, l'homme de l'aube
Dans l'avenue, à l'orée du bois
Dans les hautes collines de l'Engadine
Éternel parcours, éternel retour, l'homme de l'aube

Quand je l'ai vu, j'étais étonné
Tant qu'il était nu et fatigué
Vide, foutu, morfondu, comme une vieille violoncelle

Il boitait
Il boitait
Tellement qu'il était fatigué
Tellement qu'il était fatigué
De marcher

Il sanglotait en avançant, l'homme de l'aube
Mais il avançait, le front en avant, l'homme de l'aube
Dans l'avenue, à l'orée du bois
Dans les hautes collines de l'Engadine
Il est venu, une derniére fois, l'homme de l'aube