Quand la chance les lùche, frangins à la dérive.
à merveilleux perdants, se débattent en l'eau vive.
Si sauvagement rejetés, nager vers l'autre rive.
Parvenir de l'autre cÎté et vivre vaille que vive.
Apprendre Ă coups de crosses et de cheveux tondus,
vois les plaies qui scintillent, aux torses des vaincus, mais si la cause est belle peu importe le but.
Dans la fraßcheur exquise, de ce nouveau printemps, l'embarcation dérive.
Si sauvagement rejetée, de l'une à l'autre rive.
Parvenir de l'autre cÎté, ailleurs enfin revivre.
Apprendre Ă coups de crosse et de cheveux tondus,
vois les larmes scintillent, aux paupiĂšres vaincues.
Mais si la cause est belle peu importe le but.
Apprendre Ă coups de crosse et de cheveux tondus.
Vois les plaies qui scintillent, les combattants fourbus.
C'est un nouveau printemps, c'est un nouveau printemps!!!
Vois les plaies qui scintillent, aux torses des vaincus,
mais si la cause est belle, peu importe le butâŠ
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