Y a trop de sang qui pisse, de raisons qui s'inversent
Y a trop de sang ça glisse, ça pue la mort qui perce
Trop de cris étouffés, le travers du travers
Double ta réalité, ce qui m'enserre ça sert ?
Ton ùme m'intéresse, tes pensées m'intéressent
J'aime ta lucidité, j'aime ta crédulité
Bras tendu du djihad, mon drapeau étoilé
Le bien personnifie prend la route de Bagdad
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Son ombre agenouillée, se lamente à vomir
Il garde ses dollars et nous partage ses roubles
Tous un peu terroriste, tous amateurs d'eaux troubles
Ăa ne peut qu'ĂȘtre blanc, tout blanc, ça ça dĂ©pend
DĂ©pend de l'acheteur et d'oĂč souffle le vent
La vie referme ses mains sur toutes nos absences
Cherchant d'autres ivresses
Cherchant d'autre sentences
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Les anges qu'il nous envoie, lui reviennent sans ailes
Le mal personnifié, le mal est affamé
Le mal est une bĂȘte Ă l'issue incertaine
Au bout de sa laisse la main est saoudienne
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
Le gouvernement comme il respire
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