On vend l'air pur des grands espaces au comptoir du tabac d'en face
Le Canyon du Colorado et nous on fume comme des idiots.
Puisqu'on nous dit "la drogue est douce"
Pourquoi chercher qui nous y pousse ?
Et les mots nous anesthésient mieux que l'herbe de Colombie.
L'aventure au bout du mĂ©got, c'est le rĂȘve au niveau zĂ©ro
Le bonheur au prix le plus cher, un aller simple pour l'enfer.
La musique a durci les mĆurs, le silence est au fond des cĆurs
Et l'espérance est au rancart comme un vieux film un peu ringard.
On t'a vendu la clé des songes pour que tu piques à des mensonges
En te parlant de liberté, c'était pour mieux t'emprisonner
Mais sans gardien ni mirador, pour t'attacher quand tu t'endors
Loin de tes rĂȘves et de tes peurs, un gros boulet au fond du cĆur.
L'héroïne au bras du héros, c'est l'espoir au niveau zéro
On vend l'air pur des grands espaces au comptoir du tabac d'en face
Le Canyon du Colorado et nous on fume comme des idiots.
Puisqu'on nous dit "la drogue est douce"
Pourquoi chercher qui nous y pousse ?
Et les mots nous anesthésient mieux que l'herbe de Colombie.
L'aventure au bout du mĂ©got, c'est le rĂȘve au niveau zĂ©ro
Le bonheur au prix le plus cher, un aller simple pour l'enfer.
La musique a durci les mĆurs, le silence est au fond des cĆurs
Et l'espérance est au rancart comme un vieux film un peu ringard.
On t'a vendu la clé des songes pour que tu piques à des mensonges
En te parlant de liberté, c'était pour mieux t'emprisonner
Mais sans gardien ni mirador, pour t'attacher quand tu t'endors
Loin de tes rĂȘves et de tes peurs, un gros boulet au fond du cĆur.
L'héroïne au bras du héros, c'est l'espoir au niveau zéro
Un aller simple pour l'enfer, le retour est encore plus cher.
La musique a durci les mĆurs, l'amertume est au fond des cĆurs
Et le futur est au rancart, comme un vieux film un peu trop noir.
Comment fait-on pour croire encore, en voyant l'envers du décor
Que ce monde aujourd'hui ressemble Ă celui qu'on rĂȘvait ensemble ?
On se dit que la mort est douce sans trop chercher qui nous pousse
Et les mots nous anesthésient, mieux que l'herbe de Birmanie.
On arrive au bout du rouleau, le moral au niveau zéro
Dans l'antichambre d'un enfer oĂč l'on voyage en solitaire.
La musique a durci les mĆurs, mais, pourtant, tout au fond des cĆurs
Il reste encore un fol espoir
Comme Ă la fin dans les films un peu ringards.Saisissez votre texte en gras ici
Un aller simple pour l'enfer, le retour est encore plus cher.
La musique a durci les mĆurs, l'amertume est au fond des cĆurs
Et le futur est au rancart, comme un vieux film un peu trop noir.
Comment fait-on pour croire encore, en voyant l'envers du décor
Que ce monde aujourd'hui ressemble Ă celui qu'on rĂȘvait ensemble ?
On se dit que la mort est douce sans trop chercher qui nous pousse
Et les mots nous anesthésient, mieux que l'herbe de Birmanie.
On arrive au bout du rouleau, le moral au niveau zéro
Dans l'antichambre d'un enfer oĂč l'on voyage en solitaire.
La musique a durci les mĆurs, mais, pourtant, tout au fond des cĆurs
Il reste encore un fol espoir
Comme Ă la fin dans les films un peu ringards.
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