On avance comme tous les jours et on marche, et on court.
La tĂȘte haute et les poings serrĂ©s, trĂšs bien dressĂ©s.
Ni le jour oĂč on s'est penchĂ©, juste pour voir comment c'Ă©tait.
C'est sûr qu'on est bien tombé, sans se relever.
Les états qui désarment, les sourires qui font mal
On n'ose jamais le dire.
Mais oui, personne n'est parfait, on se cache pour pleurer.
Ne pas se montrer à genoux, essoufflé.
Mais oui, personne n'est parfait, personne n'est parfait.
On avance comme tous les jours, on titube et on est sourd
Les yeux cernés, paupiÚres enflées, bien trop fatigué.
Ni le jour oĂč on se dĂ©tache, qu'on se soĂ»le, qu'on reste lĂąche
Ăa s'embrouille et ça abĂźme de faire que passer.
Les états qui désarment, les sourires qui font mal
On n'ose jamais le dire.
Mais oui, personne n'est parfait, on se cache pour pleurer.
Ne pas se montrer à genoux, essoufflé
Mais oui, personne n'est parfait.
Oui, personne n'est parfait, on se cache pour pleurer.
Ne pas se montrer à genoux, essoufflé
Mais oui, personne n'est parfait, personne n'est parfait.
Personne n'est parfait.
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