AccrochĂ© Ă la fenĂȘtre, non loin de Mexico
Pardonné par son pÚre, épargne ses sanglots
Prison dorée de verre, affamé quotidien
Regarder en arriĂšre, car devant y'a plus rien
Il y a des instants qui pourrissent
LĂ perdu dans les loges, des coulisses de rien
La luxure à la porte, et déguerpir enfin
Des plaisirs solitaires, Ă s'Ă©corcher les mains
OĂč est le monastĂšre, affoler son entrain
Il y a des instants qui pourrissent
Il y a des instants qui pourrissent
Si la bĂȘte est la belle, un sourire pour accroc
Le clochard aime la belle, le coup du sombrero
Au souvenir d'une guerre, non loin de Mexico
La vision du derriĂšre, et lui planter ses crocs
Il y a des instants qui pourrissent
Minorité de pairs, il s'attache à ses liens
Proie en vue et mystĂšre, s'adonner au combien
Manger les idées claires, et mentir au lointain
Forger le caractĂšre, ou mourir dans un coin
Il y a des instants qui pourrissent
Il y a des instants qui pourrissent
Ensemble, ensemble, ensemble, ensemble
Ensemble, ensemble, ensemble, ensemble
Ensemble, ensemble, ensemble, ensemble
Ensemble, ensemble, ensemble, ensemble
Il y a des instants qui pourrissent
Il y a des instants qui pourrissent
Il y a des instants qui pourrissent
Il y a des instants qui pourrissent
_______________________________
Quand la personne qui compte le plus n'est plus lĂ , la vie n'est plus qu'une suite d'Ă©vĂšnements qui s'enchainent sans qu'on y attache de l'importance. Un concert, une nuit de dĂ©bauche et une gueule de bois au matin. Reste la solitude, celle que l'on ressent mĂȘme qu'on n'est pas seul, celle qui pourrit certains instants de notre vie.
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment