Elle a grandi loin des citĂ©s, lĂ oĂč la mer n'Ă©coute jamais ses pensĂ©es.
Glisse incertaine, vague infidĂšle, ne te moque pas d'elle.
ĂtĂ© si chaud, c'Ă©tait trop beau quand tu dansais, Ă©tourdie par la fumĂ©e.
Plage dĂ©serte, oĂč sont mes rĂȘves ?
Si seule, je reste.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, j'rĂȘve aussi d'un autre monde
De tendresse.
Le jour faiblit,
Si loin l'été,
Dans sa colĂšre,
La mer a tout emporté.
Elle se soulage,
Tache le sable
De quelques larmes.
Elle reste lĂ ,
Fixe la marée.
Le temps paresse,
Les souvenirs sont froissés.
Espoir rebelle,
Je veux qu'on m'emmĂšne,
Besoin qu'on m'aime.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, j'rĂȘve aussi d'un autre monde
De tendresse.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, j'rĂȘve aussi d'un autre monde
De tendresse.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, toutes mes nuits deviennent si longues.
Loin d'ici, rien qu'une seconde, j'rĂȘve aussi d'un autre monde
De tendresse.
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