Paroles de la chanson «Mes Colonies De Vacances» par Eddy Mitchell

La Baule les Pins et sa plage
Deauville, ses planches, ses rivages
M'ont toujours attiré

Et le Paris Touquet Plage
Le Crotoy, ses galets, ses nuages
M'ont tellement fascinéLa Baule les Pins et sa plage
Deauville, ses planches, ses rivages
M'ont toujours attiré

Et le Paris Touquet Plage
Le Crotoy, ses galets, ses nuages
M'ont tellement fasciné

En colonie de vacances
On nous emmenait le dimanche
Observer en silence
Mais en rang serré

Les jeunes filles sur la plage
Qui jouaient à des jeux très sages
Volley-ball ou chat perché

On voit les enfants des riches
Nous, on n'a que c' qu'on mérite
Ces vacances, c'est pour l'élite
Faut pas rêver

Les colonies de vacances
M'ont empoisonné l'enfance
Pas de baignade après déjeuner

Mes colonies de vacances
Reflet d'une douce France
Insouciante de son passé
C'est comme ça, je n'ai pas oublié

En colonie de vacances
On nous emmenait le dimanche La Baule les Pins et sa plage
Deauville, ses planches, ses rivages
M'ont toujours attiré

Et le Paris Touquet Plage
Le Crotoy, ses galets, ses nuages
M'ont tellement fasciné

En colonie de vacances
On nous emmenait le dimanche
Observer en silence
Mais en rang serré

Les jeunes filles sur la plage
Qui jouaient à des jeux très sages
Volley-ball ou chat perché

On voit les enfants des riches
Nous, on n'a que c' qu'on mérite
Ces vacances, c'est pour l'élite
Faut pas rêver

Les colonies de vacances
M'ont empoisonné l'enfance
Pas de baignade après déjeuner

Mes colonies de vacances
Reflet d'une douce France
Insouciante de son passé
C'est comme ça, je n'ai pas oubli
Observer en silence
Mais en rang serré

Les jeunes filles sur la plage
Qui jouaient à des jeux très sages
Volley-ball ou chat perché

On voit les enfants des riches
Nous, on n'a que c' qu'on mérite
Ces vacances, c'est pour l'élite
Faut pas rêver

Les colonies de vacances
M'ont empoisonné l'enfance
Pas de baignade après déjeuner

Mes colonies de vacances
Reflet d'une douce France
Insouciante de son passé
C'est comme ça, je n'ai pas oublié