Au départ y a mes potes quand c'est plus l'école qui les choisit
On s'crée une deuxiÚme famille
Malheureusement que l'temps nous abĂźme, rien n'vaut
L'amitié qui créée l'indépendance de penser si c'n'est les voyages de dissidents quand l'soleil commence à manquer
Dans l'rétro je n'vois qu'la pluie j'entends les gyrophares
Sanka conduit on laisse passer les keufs on roule la nuit au calme
On va chercher les nĂŽtres direction Roissy-Charles-de-Gaulle
Sur l'chemin on parle des fautes Ă plus commettre tu nous connais
Dans l'cim'tiĂšre de ma jeunesse, j'ai
LaissĂ© des amis, des rĂȘves et des promesses, j'ai
Abandonné, des larmes et des cris d'joie
Pour bĂątir mon monde avec mon cĆur, du bout d'mes dix doigts
Dans l'cim'tiĂšre de ma jeunesse, j'ai
LaissĂ© des amis, des rĂȘves et des promesses, j'ai
Abandonné, des larmes et des cris d'joie
Pour bĂątir mon monde avec mon cĆur, du bout d'mes dix doigts
Cette nuit un cauchemar m'a réveillé donc j'estompais mes émotions
J'essayais de garder la tĂȘte froide et mes yeux pleuraient des flocons
Putain d'silence qui fait plus mal que tous mes amis s'livraient
Moi j'dis rien malgré ça j'ai confiance ils restent mes garde-fous
J'veux savoir c'qu'il y a au bout d'la lune et du ciel noir
J'peux pas croire qu'derriĂšre la brume y a plus d'espoir
La vie est une fĂȘte c'est l'feu mĂȘme pour mes proches addicts aux cigarettes qui crament leur argent tout doucement sur des braises de notre citadelle
Je n'vois plus qu'des tours
Mais j'ai d'mandé à fixer meilleur horizon
Dur de s'détacher d'nos racines, la peur du tourbillon
L'irrésistible joie ombragée par le manque de nos proches
Mais une fois loin, on s'accroche, on s'accroche, on s'accroche, on s'accroche
Dans l'cim'tiĂšre de ma jeunesse, j'ai
LaissĂ© des amis, des rĂȘves et des promesses, j'ai
Abandonné, des larmes et des cris d'joie
Pour bĂątir mon monde avec mon cĆur, du bout d'mes dix doigts
Chacun son destin, j'suis avec Hakim, Dida et Fayssal
J'roule sur ma route grĂące Ă ces putains d'Ă©toiles
J'ai mon monde sur le dos, j'essaie d'ĂȘtre un mec bien
Et si tu vas mal, tu peux m'appeler avant d'voir un méd'cin
En attendant on est lĂ , on vise plus haut et j'te l'accorde que nos routines sont des films
Sans la gueule de Marlon Brando
Le temps défile, on perd nos croyances
Rares sont ceux qu'attendent encore le temps des c'rises
Dans l'cim'tiĂšre de ma jeunesse, j'ai
LaissĂ© des amis, des rĂȘves et des promesses, j'ai
Abandonné, des larmes et des cris d'joie
Pour bĂątir mon monde avec mon cĆur, du bout d'mes dix doigts
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment