Facebook

 

Paroles de la chanson «Elle Dort» par Francis Cabrel

Elle danse sur des parquets immenses
Aussi luisants qu’un lac
Confuse dans les vents qui s’amusent
À sa robe qui claque
Ondulant comme une flamme
Ballerine, elle balance sans effort
Elle rentrera par le grand escalier
Qu’elle adore

Elle court par les ruelles autour
Dans les rires et les flaques
LĂ©gĂšre par-dessus les barriĂšres
Et les grilles des parcs
Ondulant comme une flamme
Elle s’envole au bras d’un conquistador
Sur la chaise mobile
OĂč lourdement pĂšse son corps
Elle dort

C’est l’histoire d’à peine une seconde
Enfin elle peut faire comme tout l' monde
Poursuivre un oiseau un ballon un trésor
Mais,
Elle dort attachée à un siÚge
Comme sur l’eau
Le bouchon de liĂšge
Et toujours ce fil qui la ramĂšne au bord

Elle sort ni blessée ni fragile
Ni poupée de cristal
Dehors oĂč le monde dĂ©file
A vitesse normale
Ailleurs dans d’autres costumes
Et debout surtout dans d’autres dĂ©cors
Sur la chaise mobile
OĂč lourdement pĂšse son corps
Elle dort

Elle dort comme on plonge dans un livre
Elle dort comme on commence Ă  vivre
Surtout quand le monde accélÚre dehors
Mais,
Elle dort attachée à un siÚge
L’enfant jamais descendu du manùge
Elle aime ses heures brĂ»lantes oĂč elle pense
Qu’elle danse
Qu’elle danse
Qu’elle danse sur des parquets immenses
Aussi luisants qu’un lac...
Confuse, dans les vents qui s’amusent
À sa robe qui claque

 
Publié par 92822 4 5 7 le 6 mars 2017 à 22h35.
Les Beaux DĂ©gĂąts
Chanteurs : Francis Cabrel

Voir la vidéo de «Elle Dort»

Dire «merci» pour cette traduction Corriger une erreur
 

Vos commentaires

Aucun commentaire pour le moment

CaractĂšres restants : 1000