Elle vint chez moi en plein hiver...
Elle n'avait pas froid, n'en avait pas l'air.
Je l'accueillis Ă bras ouverts.
Je ne savais pas
Qu'elle entrait jusque-lĂ .
Fleur de ma ville,
Du sang sur tes Ă©pines.
Tu prends ce que j'ai,
Tu n'me dis pas ou je vais.
Fleur de ma ville,
Du sang sur tes Ă©pines.
Tu prends ce que j'aime
Et puis chez toi tu m'emmĂšnes.
Non, pas de veine pour celui qui l'aime,
Le dernier train.. toujours le mĂȘme !
Pour ce pays en noir et blanc...
OĂč on n'se fait plus de mauvais sang.
Fleur de ma ville,
Du sang sur tes Ă©pines.
Tu prends ce que j'ai,
Tu n'me dis pas ou je vais.
Fleur de ma ville,
Du sang sur tes Ă©pines.
Tu prends ceux que j'aime,
Et chez toi, tu les emmĂšnes.
Fleur de ma ville,
Du sang sur tes Ă©pines.
Tu prends ce que j'ai,
Tu prends ce que j'ai,
Tu prends ceux que j'aime !
Tu m'emmĂšnes... x2
Chez toi, tu m'emmĂšnes...
(oh... oh... non... non...)
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