La mer qu'on voit danser
Dans ses souliers d'Ă©cume blanche
A des reflets bleu argenté
Qui me font vaciller les hanches
Elle tourne mignonnette
Comme dans un tango endiablé
Et moi je ris je perds la tĂȘte
Je me raccroche Ă ses baisers
Je suis parti
Un matin d'août sans crier gare
Pour aller tutoyer le ciel
J'ai traversé le grand brouillard
Des extases sensorielles
Je suis parti
Au matin calme il n'y avait rien
Que la promesse de lendemains
Qui chanteront peut-ĂȘtre
Ou qui me laisseront disparaitre
Et puis la mer enfin
Le sable fin le vent soudain
Alors j'ai regardé l'horizon
J'y ai bĂąti ma raison
Et je suis parti
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