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Paroles de la chanson «Hymne à L'ivresse» par Lonepsi

La fin de la journée m'attire comme
Les yeux d'un portrait dans un musée
L'automne est un printemps trempé de boue
Où des feuilles s'y jettent sans s'amuser
Ma jeunesse est un orage traversé par des soleils drôlement lumineux
Elle sonnait parfois, joyeusement parfois, comme un accord en la mineur

Ivre la nuit, je deviens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser
Ivre la nuit, je deviens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser

La compagnie d'un autre peut rendre l'univers bien moins répugnant
Les secondes que tu vis moins pesantes
Et chaque instant passé plus poignant
La nuit c'est le noir illimité contredit par quelques étoiles
Quand je veux au mieux me définir, je ne parle pas d'mes exploits

Ivre la nuit, je viens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser
Ivre la nuit, je deviens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser

Je cours tout droit vers l'horizon qui disparaît graduellement
Je cherche désespérément auprès de lui ce qui pourrait tuer le manque
Le temps qui passe autour de nous est un vase rempli de petits miracles
Je suis certain que sans cela un poison mortel peut devenir vital
Ma jeunesse est un orage traversé par des soleils drôlement lumineux
Elle sonnait parfois, joyeusement parfois, comme un accord en la mineur
La nuit c'est le noir illimité contredit par quelques étoiles
Quand je veux au mieux me définir, je ne parle pas d'mes exploits

Ivre la nuit, je viens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser
Ivre la nuit, je deviens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser

Ivre la nuit, je viens comme cet animal blessé
Qui danse sans vouloir danser
Ivre la nuit, je deviens comme ce petit nourrisson
Qui pleure sans pouvoir penser

 
Publié par 8404 2 4 6 le 16 septembre 2020 à 14h54.
Sans Dire Adieu
Chanteurs : Lonepsi

Voir la vidéo de «Hymne à L'ivresse»

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