|
|
|
|
Le jour se lève et tu dors, mon amour
Moi je te regarde… Je ne prends pas garde
À tes affaires en vrac
Tout autour, mon amour…
Le désordre c’est ton style
Et le mien, de t’écouter
Endormie dans cette ville
Respirer…
Le temps d’aimer
Si peu de temps pour aimer tant
Mais le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le jour se lève et je suis sur mes gardes
De quell’ vie en rêve aurais-tu envie
Dans l’ombre où se replie
…Ton corps infini…
Le silence, c’est ton style
Et le mien, c’est de tout dire
Quand je me sens près de toi
En exil…
Le temps d’aimer
Si peu de temps pour aimer tant
Mais le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Et plus je t’aime, et moins je te connais
Même si de près, là je t’imagine
Quand le soleil dessine
Ton âme comme une sanguine…
La révolte, c’est ton style
À tes risques et périls
Je ne suis ni désinvolte
Ni docile…
Le temps d’aimer
Si peu de temps pour aimer tant
Mais le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le désordre c’est ton style
Et le mien, de t’écouter
Endormie dans cette ville
Respirer…
Le temps d’aimer
Si peu de temps pour aimer tant
Mais le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le prendre
Sans attendre
Sans comprendre
Le temps d’aimer…
Le silence c’est ton style
Et le mien, c’est de tout dire
Quand je me sens près de toi
En exil…
Le temps d’aimer
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment