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Paroles de la chanson «Fou, Peut-Être» par Julien Clerc

Je regarde passer les ruines
ÉparpillĂ©es sur le rivage
Avant que le jour ne décline
Je nage

Ce rĂȘve me revient souvent
D’un inĂ©vitable naufrage
Dont je serais seul survivant
Je nage

Fou, peut-ĂȘtre
Et fier de l’ĂȘtre
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m’y love, que je m’y perds
Fou, peut-ĂȘtre
Et fier de quoi
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m’y perds et que j’aime ça

C’est l’eau qui va lisser mon front
Et rendre serein mon visage
Les années glissent et glisseront
Je nage

Et je me dis que ça me plait
À l’heure qu’il est et à mon ñge
Que la mer ait des dents de lait
Je nage

Fou, peut-ĂȘtre
Et fier de l’ĂȘtre
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m’y love, que je m’y perds
Fou, peut-ĂȘtre
Et fier de quoi
Je n’ai suivis que des chimùres
Fortune de terre n’est pas pour moi
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m’y love que je m’y perds
Fou, peut-ĂȘtre
Et fier de quoi
Ils sont si doux ces bras de mer
Que je m’y perds et que j’aime ça

 
Publié par 36581 4 4 6 le 24 septembre 2020 à 7h46.
Fou, Peut-Être
Compositeurs : Julien Clerc
Chanteurs : Julien Clerc
Auteurs : Maxime Le Forestier

Voir la vidĂ©o de «Fou, Peut-Être»

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