Paroles de la chanson «Échafaudages» par Julien Clerc

Moi, la nuit
Quand j’ m’ennuie,
J’emmène un gallon d’ whisky
Dix ans d’âge
Dans mes vagabondages
Sur les échafaudages…

Moi, la nuit
Quand j’ m’ennuie
Je prends du saké, du raki
Je voyage
Sans tickets, sans bagages
Sur les échafaudages…

J’ vois des gens
Passer sous les enseignes
Qui s’allument et s’éteignent
Comme au cinéma

De ces toits
Où j’ m’assois
J’ t’aperçois
Jamais, toi…

Moi, la nuit
Sous la pluie
J’ suis le Tarzan, l’Houdini des nuages
Le yéti des étages
Sur les échafaudages…

Moi, la nuit
Quand je m’ennuie
Tu passes jamais par ici
C’est dommage
Tu sais, c’est plus d’ mon âge
Tous ces échafaudages

J’ vois des gens
Des passants qui s’étreignent
L’inconnue qui se peigne
Comme au cinéma

De ces toits
Où j’ m’assois
J’ t’aperçois
Jamais, toi…

J’ vois des gens
Passer sous les enseignes
Qui s’allument et s’éteignent
Comme au cinéma

De ces toits
Où j’ m’assois
J’ t’aperçois
Jamais, toi…

Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut
Sur les échafaudages
Là, tout là-haut
Là, tout là-haut