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Paroles de la chanson «Ôde À L'amour Courtois» par Francis Cabrel

Comme un ami le printemps est venu lui-mĂȘme
Charger de fleurs les premiers vers de mon poĂšme
OĂč je bĂ©nis ses yeux, son corps, sa chevelure
Et tout ce qui fait vibrer mes pages d’écritures

À chacun de ses pas elle parfume l’espace
C’est ma chanson pour dire comment elle se dĂ©place
Les plis de son manteau oĂč je voudrais m’étendre
Les colliers Ă  son cou oĂč je pourrais me pendre

Du bout des lĂšvres
Dans ces milliers d’oiseaux que le matin soulùve
Dans le doute et la fiĂšvre
Je murmure un prĂ©nom qui n’existe qu’en rĂȘve
Mais elle reste de glace, elle ne répond rien, rien

J’invente des rĂȘves sans fin, des nuits torrides
Chaque matin l’aube revient sur mes mains vides
S’il reste un paradis au fond du ciel immense
C’est probablement entre ses bras qu’il commence

Qu’importe les mauvais chemins s’ils vont vers elle
J’en finirai mieux ce refrain oĂč je l’appelle
On y entendra mes yeux couler, mon cƓur se fendre
Et s’ouvrir ce manteau oĂč je veux tant m’étendre

Du bout des lĂšvres
Dans ces milliers d’oiseaux que le matin soulùve
Dans le doute et la fiĂšvre
Je murmure un prĂ©nom qui n’existe qu’en rĂȘve
Mais elle reste de glace, elle ne répond rien, rien
Et je reste Ă  ma place, mais tout le monde voit bien, bien
Que de tous les jours qui passent, je préfÚre, et de loin
Les jours oĂč je la vois

Comme un ami le printemps est venu lui-mĂȘme


 
Publié par 36582 4 4 6 le 14 novembre 2020 à 6h30.
A l'Aube Revenant
Compositeurs : Francis Cabrel
Auteurs : Francis Cabrel
Chanteurs : Francis Cabrel

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