Facebook

 

Paroles de la chanson «Porte Z» par Feu! Chatterton

Une plaine et des chƓurs d’enfants
Rien n’était plus beau qu’aujourd'hui
Le soir tombait comme un rideau
Les jeunes gens s’en allaient

Le soir tombait comme un rideau
MĂ©tallique
Les jeunes gens s’en allaient
RĂȘvant Ă  l’air libre allergĂšne
D’une autre plaine

Et le jour avait
Une couleur d’étĂ©, de printemps
Des milliers d’avions
Éventraient le ciel mais nous n’avions

Et le jour avait
Une couleur d’étĂ©, de printemps
Des milliers d’avions
Éventraient le ciel mais nous n’avions

Peur de rien

Dans la plaine montait enfin
Cette clameur qui Ă©tourdit
Les nues se fendaient de sifflets
Les jeunes gens s’en allaient

L’azur se fendait de sifflets
MĂ©talliques
Et les jeunes gens s’en allaient
Par mille ! Ivre cohorte
Qui hĂątivement Ă©levait au milieu de la plaine


Parmi l’ivre cohorte
Ils s’en allaient
S’en allaient
S’en allaient

Sur le champ
S'en allaient se perdre
Au milieu de l’ivre cohorte
Qui hĂątivement Ă©levait
Un grand bûcher pour se distraire
Là, tout juste au cƓur de la plaine
Au cƓur de la plaine

Et le jour avait
Une couleur d’étĂ©, de printemps
Des milliers d’avions
Éventraient le ciel mais nous n’avions

Et le jour avait
Une couleur d’étĂ©, de printemps
Des milliers d’avions
Éventraient le ciel mais nous n’avions

Peur de rien

Peur de rien
Peur de rien
Dans cette plaine
Cette autre plaine
Une autre plaine
Une autre plaine
Dans laquelle nous n’avions peur de rien

 
Publié par 36582 4 4 6 le 30 janvier 2021 à 7h22.
Ici Le Jour (A Tout Enseveli)
Compositeurs : Feu! Chatterton
Auteurs : Feu! Chatterton

Voir la vidéo de «Porte Z»

Dire «merci» pour cette traduction Corriger une erreur
 

Vos commentaires

Aucun commentaire pour le moment

CaractĂšres restants : 1000