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Les bois enneigés défilent, enchanteurs
La neige pure reflète la pâleur d’un soleil voilé
Le paysage hivernal d’une splendeur magique
S’étend au creux d’une vallée sans nom
Par-delà collines et rivières
Forêts de sapins hauts et verts
Chevauchant entre branches et tertres
Et ruisseaux cristalline gelés
Le chemin invisible serpente, sournois
Entre rochers blancs et arbres morts
Au cœur de cette nature sauvage
Un silence macabre soudain se grave
La beauté hivernale fait alors place
À un sombre boisé de ronces
Une macabre foret, hideuse et noire
Et au creux des arbres, une sépulture, de racines noircie
À la lueur sordide d’une flamme azur
Sur son trône noir, une créature observe
Et dans son oeil d'ébène un éclair perçant
Dans la demeure du démon il était roi
“Je suis prêt à verser mon sang
Pour redonner vie à ce que n’est plus
Parle, Ô créature sinistre,
Quel est le prix de ta magie ?”
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