Deux trois années passées
Ă scruter toutes les
Silhouettes ferroviaires
Front collé à ma vitre
Mais tout allait trop vite
Ou pas assez au contraire
Jâai tirĂ© les rideaux
Jâai repris sans un mot
Mon existence sommaire
Je me sens si binaire
Tellement ordinaire
Prends-moi dans tes bras, console-moi
Remplis mes poches de tartines au chocolat
Je veux du soleil, des yeux qui clignent
Mais qui jamais ne se résignent
Deux trois années passées
Ă scruter toutes les
Silhouettes ferroviaires
Front collé à ma vitre
Mais tout allait trop vite
Ou pas assez au contraire
Jâai tirĂ© les rideaux
Jâai repris sans un mot
Mon existence sommaire
Je me sens si binaire
Tellement ordinaire
Deux trois années passées
Ă scruter toutes les
Silhouettes ferroviaires
Front collé à ma vitre
Mais tout allait trop vite
Ou pas assez au contraire
Jâai tirĂ© les rideaux
Jâai repris sans un mot
Mon existence sommaire
Je me sens si binaire
Tellement ordinaire
Collons nos antennes à la résine
Promânons-nous dans les bois
Tant que le loup est lĂ
Je veux du pollen plein les narines
Et tes grands yeux qui crient famine.
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le 31 août 2021 à 7h11.
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