Une derniÚre balade dans la baie, le dernier refrain de l'été
L'automne derriÚre nous voit fermer, l'océan loin s'est retiré
Ta bouche sur ma peau n'ira plus, ta main dans la mienne s'est perdue
Nos rires insouciants se sont tus, je m'en vais comme je suis venue
Et dans les soirs d'hiver, les tempĂȘtes, les vents contraires
Moi je ferme le yeux, et je pense Ă toi
Et dans les soirs d'hiver, les tempĂȘtes, les vents contraires
Moi je ferme le yeux, et je pense Ă toi
Dans le sable nos traces éphémÚres, ton parfum flotte encore dans l'air
Immobile sous le belvédÚre, je pleure nos amours passagÚres
Et dans les soirs d'hiver, les tempĂȘtes, les vents contraires
Moi je ferme le yeux, et je pense Ă toi
Et dans les soirs d'hiver, les tempĂȘtes, les vents contraires
Moi je ferme le yeux, et je pense Ă toi
Droit vers l'horizon j'ai marché, pas une fois je me suis retournée
Le vent doucement s'est levé, et les immortelles ont fanées
Dans l'arriĂšre saison dĂ©sertĂ©e de cette ville oĂč je t'ai ⊠aimĂ©
Et dans les soirs d'hiver, les tempĂȘtes, les vents contraires
Moi je ferme le yeux, et je pense Ă toi
Et dans les soirs d'hiver, les tempĂȘtes, les vents contraires
Moi je ferme le yeux, et je pense Ă toi
Moi je pense Ă toi
Oui je pense Ă toi
Je t'aime.
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