On se souvient du clocher affolé
On en esquive la riviÚre et son lit doré
On se raccroche Ă ses rĂȘves brisĂ©s
Et on martÚle les livres et leurs drÎles d'idées
On se souviendra
Des gestes qui partent et des sautes d'humeur
Et je saute dans les flaques, moi c'est ça mon bonheur
Quand plus rien ne bouge
Plus rien ne bouge
On s'aventure vers nos vies encadrées
Toutes nos armures sont conçues en papier mùché
Les habitudes se sont faites mitraillées
Et on réveille le vide et ses humeurs passées
On se souviendra
Des battements qui Ă©clatent quand on ressent son cĆur
Et ses petites mains moites, moi c'est ça mon bonheur
Quand plus rien ne bouge
Plus rien ne bouge
Quand plus rien ne bouge
Plus rien ne bouge
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Une chanson instrumentalement nue (juste guitare acoustique et claviers) qui parle de la fragilité de la vie et de notre impuissance face au destin parfois tragique.
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