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Paroles de la chanson «Deux Étrangers» par Jean-Patrick Capdevielle

Je danse en marche arriĂšre, toi, t'es sous les lumiĂšres.
Personne parle d'hier prĂšs du fleuve.
Pas besoin d'excuses, y'a que le temps qui s'use.
C'est plus l'heure des ruses, mĂȘme toutes neuves.
T'as posé ton front sur mon épaule.
J'entends plus les camions qui nous frĂŽlent.
Ça sert à quoi tout ça? Ça sert à rien tu crois.

Deux Ă©trangers dans la ville, deux ombres un peu trop
fragiles
Au bout d'un jour qui bat, qui bat.
Deux vies dans la nuit qui file, deux larmes en trop sur tes

cils
Et mes yeux malgré moi qui voient pas plus loin que toi.
T'as choisi ma fiĂšvre, moi, la peur sur tes lĂšvres
Sur ton cƓur en grùve, mes mots pleuvent.
T'as dansé pour moi nue dans tes draps.
J'inventais tes cris du bout des doigts.
Ça sert à quoi tout ça? Ça sert à rien tu crois.

Deux Ă©trangers dans la ville, deux ombres un peu trop
fragiles
Au bout d'un jour qui bat, qui bat.
Deux vies dans la nuit qui file, deux larmes en trop sur tes
cils
Et mes yeux malgré moi qui voient
Pas plus loin que toi, pas plus loin que toi.
Pas plus loin que toi, pas plus loin que toi.

 
Publié par 93012 4 5 7 le 10 août 2022 à 6h44.
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