Elle est celle qu'on remarque, qu'on voit sans se retourner
C'est son parfum de marque qui fait d'elle reine des soirées
Ah le sourire qui frappe et le goût du franc-parler
De folles tenues qui claquent, le sein presque dévoilé
Je ne l'ai pas vu venir avec son air de re-frĂš
Elle me parlait d'avenir et savait fort qui je serai
Me montrer comment vivre, ça sans devoir me cacher
Me disait de dĂ©sobĂ©ir, que j'finirai mĂȘme par sucer
Elle fanera pas la rose Tati
On la cueille pas la rose Tati, ah
Elle a l'odeur de l'interdit
A mis des fleurs dans tout Paris, ah
Elle me parle toujours de Piaf
De Dalida, elle vit Ă Montmartre
Puis me détaille toutes ses phrases
Me dit de prendre toujours la vie la plus faste
Elle m'emmĂšne lĂ oĂč l'on tape les cĆurs sur du marbre ancien
Dans des endroits oĂč l'on rase le nu pour une bouchĂ©e de pain
Me fait descendre les Ă©tages, pour monter sur le tremplin
OĂč l'on plane jusqu'aux Ă©toiles sans mĂȘme penser Ă demain
Oui, je connais la fĂȘte, surtout celle de trop
J'crois qu'elle est Ă la tĂȘte de mes envies de trop
On finit à BarbÚs pour chanter sous le métro
Et tenir les distances de nos nuits au galop
Elle fanera pas la rose Tati
On la cueille pas la rose Tati, ah
Elle a l'odeur de l'interdit
A mis des fleurs dans tout Paris, ah
Elle fanera pas la rose Tati
On la cueille pas la rose Tati, ah
Elle a l'odeur de l'interdit
A mis des fleurs dans tout Paris, ah
(Allez, je t'aime Eddy)
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