Je fais un rĂȘve, c'est le plus ancien
C'Ă©tait hier et ce sera demain
Trois espérances
Se rient des différences
Des mélanges de mots
De musiques et de peaux
Si l'on pouvait, un jour, faire parler
Ces oliviers qui s'accrochent Ă leur terre
Fiers d'ĂȘtre lĂ plusieurs fois centenaires
Je sais qu'ils nous diraient comment gagner la paix
Si j'ai le mal d'un pays aujourd'hui
C'est de celui dont nous parlent les livres
De cette Ă©poque oĂč il faisait bon vivre
Que sont devenues mes Andalousies
Que sont devenues nos Andalousies
Je fais un rĂȘve, c'est le plus ancien
C'Ă©tait hier et ce sera demain
Trois espérances
Se jouent des apparences
Et chantent au diapason
Guitares, luths et violons
Trois arcs-en-ciel
Fruits d'un mĂȘme soleil
Pour colorer la pluie
Aux couleurs de la vie
Si j'ai le mal d'un pays aujourd'hui
C'est de celui oĂč d'un coup d'Ă©ventail
Les femmes chassaient les soucis la grisaille
Que sont devenues mes Andalousies
Que sont devenues nos Andalousies
Je fais un rĂȘve, c'est le plus ancien
C'Ă©tait hier et ce sera demain
Trois espérances
Enchainées par la chance
De partager sourires
Joies, chagrins et plaisirs
Trois arcs-en-ciel
Sortis sous le soleil
D'un horizon barré
De sols rouges et brûlés
Si j'ai le mal d'un pays aujourd'hui
C'est de ce temps, de cet eldorado
Que je retrouve au son du flamenco
Que sont devenues mes Andalousies
Que sont nos Andalousies
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