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Dans mon monde, ça gronde
Pas tout le temps, mais très souvent
Pourtant il n’y a pas grand monde
Mais qu’est-ce que je les entends
Ces voix qui vous rabaissent
Ces voix qui vous blessent
Pas tout le temps, mais suffisamment,
Pour les avoir en tête, c’est rageant
Alors je me projette dans 10 ans, quand je serai grande,
J’me dis qu’un jour, peut-être, je pourrais être,
Comme je suis, comme je me sens sans chercher à disparaître
Alors je me projette dans la vie, et pas celle d’autrui
La vraie, la mienne, la seule qui n’tienne
Et je ressens qui je suis vraiment
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde, ça tombe,
Pas les amants, ni les méchants,
Et il n’y a pas assez grande tombe,
Pour tous les mettre dedans
Ces bêtes qui vous guettent
Ces bêtes qui vous jettent
Presque tout le temps, voire trop souvent,
Pour les avoir dans le cœur, c’est navrant
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Alors je me projette dans 10 ans, quand je serai grande,
J’me dis qu’un jour, peut-être, je pourrais être,
Comme je suis, comme je me sens sans chercher à disparaître
Alors je me projette dans la vie, et pas celle d’autrui
La vraie, la mienne, la seule qui n’tienne
Et je ressens qui je suis vraiment
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Alors parfois je ne vous cache pas
Que la vengeance m’a traversé, le bras, comme l’aiguille d’un camé
Comme je suis, comme je sens sans chercher à disparaître
Alors je me projette dans la vie, et pas celle d’autrui
La vraie, la mienne, la seule qui n’tienne
Et je ressens qui je suis vraiment
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde…
Dans mon monde.
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