Hh Hh Hh Hh
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Ont le mĂȘme espoir et les mĂȘmes chagrins
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Sont bien tous les mĂȘmes quand ils se disent je t'aime
Sur les terrasses des buildings de Manhattan
Il y a des gens qui vivent dans les jardins
Dans les cabanes en bois du Nord de l'Islande,
De rudes pĂȘcheurs
Ne vivent que de leurs mains
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Ont le mĂȘme espoir et les mĂȘmes chagrins
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Sont bien tous les mĂȘmes quand ils se disent je t'aime
Sur les hauteurs de Rio de Janeiro
Douze mois par an on rĂȘve du Carnaval
Mais dans les jonques moisies du Port de ShangaĂŻ,
Pouvoir survivre devient un idéal
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Ont le mĂȘme espoir et les mĂȘmes chagrins
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Sont bien tous les mĂȘmes quand ils se disent je t'aime
Toutes les femmes, tous les hommes
Sont faits de la mĂȘme eau et du mĂȘme sel
Et leurs Ăąmes s'abandonnent
Aux rayons de lumiĂšre d'un mĂȘme soleil
Sur l'océan de glace des banquises
Les chasseurs tuent les derniers caribous
Au bord du Gange les pĂšlerins s'unissent
Et vont pieds nus prier Ă Katmandou
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Ont le mĂȘme espoir et les mĂȘmes chagrins
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Sont bien tous les mĂȘmes quand ils se disent je t'aime
Blancs, Jaunes, Rouges, Noirs
Tous les humains
Vos commentaires
Aucun commentaire pour le moment