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Quand tu dors prĂšs de ton mari
Pour la trois-cent-milliĂšme fois
Ne t'arrive-t-il pas des fois
De rĂȘver qu'il est quelqu'un d'autre ?
Et quand tu roules dans son lit
En miaulant comme un jeune chat
N'espĂšres-tu pas quelquefois
Que Tarzan est derriĂšre la porte ?
Dans la grande forĂȘt
ForĂȘt vierge de l'amour
Il t'emporte avec lui
Et de sources en cascades il t'enlĂšve
En poussant son grand cri
Tu t'accroches Ă ses hanches tellement fort
Que tes veines en sont bleues
Quelles vacances, quelle chance, tu es belle
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Quand tu dors prĂšs de ton mari
Et que ton plaisir ne vient pas
Ne t'arrive-t-il pas des fois
De rĂȘver qu'il est quelqu'un d'autre ?
Et quand tu vogues dans la nuit
Au vent de son plaisir Ă lui
Pour atteindre le paradis
Tu rĂȘves que Tarzan t'emporte
Dans la grande forĂȘt,
ForĂȘt vierge de l'amour
Il t'emporte avec lui
Et de sources en cascades il t'enlĂšve
En poussant son grand cri
Tu t'accroches Ă ses hanches tellement fort
Que tes veines en sont bleues
Quelles vacances, quelle chance, tu es belle
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Dans la grande forĂȘt
ForĂȘt vierge de l'amour
Il t'emporte avec lui
Dans l'espace il t'enlace il t'embrasse
En poussant son grand cri
Vos corps planent dans les lianes
PrÚs du fleuve étrange et dangereux
Quelles vacances, quelle chance, tu es belle
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
Et Tarzan est heureux
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