Tous mes souvenirs me tuent
Les trop tard, les jamais plus
OĂč sont la douceur de vivre
Les beaux jours, le bateau ivre
D'idéal et d'absolu...
Je voudrais que rien n'efface
La magie, l'état de grùce
De nos paradis perdus:
Les rĂȘves, l'amour fou
La beauté surtout
De l'avenir devant nous...
Tous mes souvenirs me tuent...
La perte de l'innocence...
Cette douleur que relancent
Mensonges ou malentendus...
Ăa me semble hier Ă peine
Le soir tombe sur la Seine
Comme sur les espoirs déçus...
Ainsi va la vie
La fĂȘte est finie
MĂȘme Paris n'est plus Paris...
Tous mes souvenirs me tuent...
Tous mes souvenirs me tuent
Mais toi-mĂȘme comment vas-tu?
Que devient le mal de vivre
Qui t'empĂȘchait de me suivre?
Comment as-tu survécu?
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