Quand le soleil se couche
La lune lumiĂšre de son Ăąme, contre ma peau
Quand mes étoiles tournent
Autour du monde, autour de mon joyau
Face aux bruits qui courent
Mon moral, lui, souffre
Lâamertume sans doute
Sur son chemin déroute
Les peines et cris écoutent
Mon sommeil est emballé
Dans le vent des étés
Des courants éclairs
Chaque jour qui passe
Les douleurs me tiennent
Depuis ton départ
Ma vie est Ă terre
Les nuits passent
Mon cĆur accĂ©lĂšre
Je tourne en rond, je
Je tourne en rond, je
Je ne vis plus
Comme avant
Je tourne en rond, je
Je tourne en rond, je
Je ne vis plus
Comme avant
Quand Ă toutes heures je croise
Les degrés démons, que je bois
Quand mes sentiments déphasent
Autour du monde, autour de toi
Liasse de mots dâamour
Les visages en foule
La compassion sans doute
HĂ©ritĂ© dâun passĂ© lourd
Le cĆur, non loin de la souche
La vie nâest pas terminĂ©e
Dans le vent des étés
Des courants éclairs
Chaque jour qui passe
Les douleurs me tiennent
Depuis ton départ
Ma vie est Ă terre
Les nuits passent
Mon cĆur dĂ©cĂ©lĂšre
Je tourne en rond, je
Je tourne en rond, je
Je ne vis plus
Comme avant
Je tourne en rond, je
Je tourne en rond, je
Je ne vis plus
Comme avant
Seulement si tu savais, oh...
Seulement si nos vies se contrĂŽlaient
Seulement si tu savais, oh...
Tâes parti, je veux te retrouver
Seulement si tu savais, oh...
Seulement si on mâen donnait les clĂ©s
Seulement si tu savais, oh...
Tâes parti, je veux te retrouver
Dans le vent des étés
Des courants éclairs
Chaque jour qui passe
Les douleurs me tiennent
Depuis ton départ
Ma vie est Ă terre
Les nuits passent
Mon cĆur sâarrĂȘte
Je tourne en rond, je
Je tourne en rond, je
Je ne vis plus
Comme avant
Je tourne en rond, je
Je tourne en rond, je
Je ne vis plus
Comme avant
Que les étoiles qui brillent dans tes yeux disparaissent, peu à peu
Je nâveux pas, que les Ă©toiles qui brillent dans tes yeux, disparaissent pour nous deux.
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