Libre
Masnada
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MĂ©tale
Trés
Trés
Bien
Des pays si lointins, des peuples inconnus
Certains n'ont jamais obtenu ou tout perdu
A des années lumiÚres de tes préoccupations premiÚres
Nés sous le joug, nourris et élevés dans la sevitude
Que les choses semblent naturelles quand vient l'abitude
Mais comment accepter le vice de voir un nombre infini d'hommes obéir et servir, exploités que l'on
Somme de ne rien contredire, accepter la vie qu'on leur donne
Et bannir tout espoir
Ils prennent pour Ă©tat de nature, l'Ă©tat de naissance
La prise de conscience du malheure toujours aprĂšs le plaisir
Comment vouloir ĂȘtre libre et regretter la libertĂ©, sans mĂȘme en avoir une idĂ©e ?
La raison bien loin, la souffrance et la peine assimilées au quotidien anesthésient la haine
C'est tout un peuple que l'on saigne
HumiliĂ©s, rabaissĂ©s, tant d'indignitĂ©s que les bĂȘtes elles-mĂȘme ne pourraient supporter
Alors le poids des années semble ancrer à jamais le rÚgne d'un fou sur un peuple à genoux
RĂ©pression ordinaire, Ă chaque seconde,
Ce qui se passe partout dans le monde n'est pas imaginaire
Ils prennent pour Ă©tat de nature, l'Ă©tat de naissance
La prise de conscience du malheure toujours aprĂšs le plaisir
Comment vouloir ĂȘtre libre et regretter la libertĂ©, sans mĂȘme en avoir une idĂ©e ?
Ce qui se passe partout dans le monde n'est pas imaginaire
Ils prennent pour Ă©tat de nature, l'Ă©tat de naissance
La prise de conscience du malheure toujours aprĂšs le plaisir
Comment vouloir ĂȘtre libre et regretter la libertĂ©, sans mĂȘme en avoir une idĂ©e ?
Comment vouloir ĂȘtre libre ?
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