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Paroles de la chanson «Tallulah» par FAUVE

Alors que le bruit de nos talons
Sur le macadam trempé résonne
Dans la nuit de décembre

Alors il faut rattraper le temps perdu
Le temps passé loin l'un de l'autre

Je suis un peu fébrile
Et toi t'as cet air un peu songeur
Tu fais ce bruit avec tes lùvres que je connais par cƓur
Les mots se font rares
Mais peu importe
Les silences comptent aussi
Et on a toute la nuit

Alors que l'odeur d'amande sucrée
De nos haleines alcoolisées nous revient par la buée qu'on expire
Alors, les langues se délient
Alors, on ose enfin parler
Se dire les choses

Tu es partie
Je suis resté
On a changé
On s'est construits chacun de notre cÎté
J'ose pas trop le dire
Mais souvent tu me manques
Et je suis heureux, Ă  cet instant
De pouvoir simplement te regarder

(Refrain)
Dans ma poche un briquet
Je fais des étincelles par série de 3
RĂ©flexe bizarre, je sais
Mais je voudrais que ce moment s'arrĂȘte pas

Et si le bateau coule, si le bateau sombre
Je te suivrai, je serai comme ton ombre
Tu me trouveras toujours dans ton sillon
Dans les sales moments comme dans les bons
Et si le ciel s'Ă©croule, si les continents plongent
Je te suivrai mĂȘme jusque dans tes songes
Tu me trouveras toujours dans ton sillage
Dans les lignes droites et les virages

Alors que nos visages engourdis par le froid brillent sous le crachin nocturne
Alors, on discute Ă  bĂątons rompus
Comme Ă  cette Ă©poque bĂ©nie oĂč tu partageais ma vie

J'aime toujours ce que tu es
En fait mĂȘme plus qu'avant je crois
Maintenant que t'es plus lĂ 
Et puis il y a quelque chose de plus lumineux
De coloré, de plus vivant, je trouve ça séduisant

(Refrain)
Dans ma poche un briquet
Je fais des étincelles par série de 3
RĂ©flexe bizarre, je sais
Mais je voudrais que ce moment s'arrĂȘte pas

Et si le bateau coule, si le bateau sombre
Je te suivrai, je serai comme ton ombre
Tu me trouveras toujours dans ton sillon
Dans les sales moments comme dans les bons
Et si le ciel s'Ă©croule, si les continents plongent
Je te suivrai mĂȘme jusque dans tes songes
Tu me trouveras toujours dans ton sillage
Dans les lignes droites et les virages

Alors que le bruit de nos talons
Sur le macadam trempé résonne
Dans la nuit de décembre

Alors il faut rattraper le temps perdu
Le temps passé loin l'un de l'autre

Tu me dis que bientĂŽt
Peut-ĂȘtre on va se retrouver
Que bientĂŽt peut-ĂȘtre tu vas revenir
Alors mon cƓur s'emballe
Mais je le garde pour moi
Je me contente de sourire
Et de jouer avec la pierre de mon briquet

(Refrain)
Toujours ce briquet ma poche un briquet
Je fais des étincelles par série de 3
RĂ©flexe bizarre, je sais
Mais je voudrais que ce moment s'arrĂȘte pas

Et si le bateau coule, si le bateau sombre
Je te suivrai, je serai comme ton ombre
Tu me trouveras toujours dans ton sillon
Dans les sales moments comme dans les bons
Et si le ciel s'Ă©croule, si les continents plongent
Je te suivrai mĂȘme jusque dans tes songes
Tu me trouveras toujours dans ton sillage
Dans les lignes droites et les virages

Et si le bateau coule
Si le bateau sombre
Si le ciel Ă©croule
Si les continents plongent

Ce texte est selon moi, Ă©cris pour une ex copine qu'on aime toujours a qui ont pense toujours ou une personne qui nous rends heureux.

 
Publié par 5302 2 2 4 le 25 mai 2015 à 19h45.
Vieux FrĂšres - Partie 2
Chanteurs : FAUVE

Voir la vidéo de «Tallulah»

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