Facebook

 

Paroles officielles de la chanson «Illy» : Sein

Albums :

Paroles officielles de la chanson "Illy"

Tu es à moi
Et quand je vois tes yeux dans l’noir
Toutes mes pensées se tournent vers toi
La fin du monde, la fin des temps, la fin des rondes, la fin des manques

Tu es à moi (x2)
Et quand je vois tes yeux dans l’noir
Toutes mes pensées se tournent vers toi (x2)

Tu es à moi (x2)
Et quand je vois tes yeux dans l’noir (x2)
Toutes mes pensées se tournent vers toi (x2)
Et je me dis que c’est la fin
La fin du monde, la fin des temps, la fin des rondes, la fin des manques
Tu es à moi (x2)
Et quand je vois tes yeux dans l’noir (x2)
Toutes mes pensées se tournent vers toi (x2)
Et je me dis que c’est la fin
La fin du monde, la fin des temps, la fin des rondes, la fin des manques

Couplet Balthazar
Un ange passe j’lui casse bien les ailes, Qu’on l’attrape même, ça passe et moi j’roule ma pelle, Ma belle s’en tire bien, me dit j’l’ai bien senti, Sans mentir j’veux qu’tes seins, s’rapportent à mon sourire, Fidèle au rendez-vous, chimère à l’attaque et c’est tout, Ci-mer à la vilaine en vous, Chimène au yeux d’or me rend fou, C’est pas fini fini fini, je joue avec toi comme un frisbee Ca fait des rond fais des ronds s’défait Plonge et me fais de l’effet

Tu es à moi (x2)
Et quand je vois tes yeux dans l’noir (x2)
Toutes mes pensées se tournent vers toi (x2)
Et je me dis que c’est la fin
La fin du monde, la fin des temps, la fin des rondes, la fin des manques
Tu es à moi (x2)
Et quand je vois tes yeux dans l’noir (x2)
Toutes mes pensées se tournent vers toi (x2)
Et je me dis que c’est la fin
La fin du monde, la fin des temps, la fin des rondes, la fin des manques

Couplet Joseph
Manque, manque pas de rappeler, On on a dérapé
Certes C’est un acte manqué, mais ta beauté m’a braqué Ce soir la lune était pleine, toi qui étais souvent laide à tes yeux j’avais trouvé ingénieux de…
Pour pouvoir te draguer trouver quelques phrases et faire ces quelques pas qui nous ont bien rapprochés On s'est enlacé on s’est embrassé, On sait pertinemment que l’on va s’en lasser.