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Paroles officielles de la chanson «Le Petit Manager» :

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Paroles officielles de la chanson "Le Petit Manager"

Cet oiseau-là, faut l’avoir à l’œil, y a du danger
Toujours smart, attaché-case, le contrat, et puis le chéquier
Il arrive, sans soucis, sourire en coin, toujours décontracté
Les phrases sans queue ni tête sont les jargons du métier

Voici l’histoire du petit manager
Un poil dans la main, le sourire accrocheur
Voilà pourquoi c’est le meilleur
Quand tu le sonnes, il est toujours ailleurs
Voici l’histoire du petit manager
Sans aucun doute le roi des glandeurs

Chope promise chope due, il arrose l’assemblée
De langue de bois en gueule de bois, ça déteint sur son chéquier
Comme l’abus de pots de vin, non, jamais ne l’écœure
Au Panthéon des arnaques il sort toujours vainqueur

Voici l’histoire du petit manager
Un poil dans la main, le sourire accrocheur
Voilà pourquoi c’est le meilleur
Quand tu le sonnes, il est toujours ailleurs
Voici l’histoire du petit manager
Sans aucun doute le roi des glandeurs

Même pour les coups fumants, l’argent n’a pas d’odeur
Il scrute le marché d’un air froid et front penseur
Car dans le petit monde des affaires c’est lui la terreur
(Attention, promotion exceptionnelle) racoleur

Voici l’histoire du petit manager
Un poil dans la main, le sourire accrocheur
Voilà pourquoi c’est le meilleur
Quand tu le sonnes, il est toujours ailleurs
Voici l’histoire

Maintenant, parlons un petit peu de ses amis
Aux premières places, ben du coup tous des VIP
Avec leurs grands airs, pas de mystère, c’est la frime-party
C’est une équipe de flambeurs dopée aux royalties

Voici l’histoire du petit manager
Un poil dans la main, le sourire accrocheur
Voilà pourquoi c’est le meilleur
Quand tu le sonnes, il est toujours ailleurs
Voici l’histoire du petit manager
Un poil dans la main, le sourire accrocheur
Voilà pourquoi c’est le meilleur
Quand tu le sonnes, il est toujours ailleurs
Voici l’histoire du petit manager
Un poil dans la main, le sourire accrocheur
Voilà pourquoi c’est le meilleur
Quand tu le sonnes, il est toujours ailleurs
C’était l’histoire du petit manager