Facebook

 

Paroles officielles de la chanson «Danse Des Morts» : Odezenne

Albums :

Paroles officielles de la chanson "Danse Des Morts"

A la tienne!
Les dilemmes s'posent rarement la nuit l'ami:
Mes erreurs s'font des pensées, puis s'font défonçer
Et j' clean les taches pour celui qui passait
J' noie des erreurs dans mes verre gros
On s'veux désiré ...pfffff....une merde de trop
L'ambiance fait s'feutré c'texte
Entre mensonge et maniement
On s'ronge evidement mais reste
Des petit cadavres que j'l' lest
Faut que j'les coule au fond d'mon cerveau
C'con m'test... merde!
J'l'ai mal découpé l'salaud!
Son corps pue dans mon conscient sans bédo
J'l'ai trouvé sale seul
Dans mon lobe frontal sale
Au reveil,
Un corps qui remonte pendant la nuit quand j'méveille,
Toujours la meme et l'début des ennui qui s'amene
Faut dire qu' j'en sème, des macabés qui m’gènent
Dans ma tete c'est mal agencé ou j'en sais rien
Mais j'ai du mal à danser.
Des erreurs que j’dissous comme une histoire a six sous
Occulter les soucis quand j’traine assis sous
Mon tas d’ordure a ficeler
Pas difficile de les tuer mais ces corps m’encombrent
À se demander qui tu es les jours sombre
Dissimuler dans une grande fresque,
Une garce ! décidément une farce cette « mémoire éparse »
C’est parce qu’les traces que j’laisse blessent
Lacéré par des lames oubliées
Une coupure d’ame
Sans son ni sang,
Une souffle, fffff !!! Des innocent
Un chuchotement
Souviens toi de c’que t’as fait !
On est la somme de ses actes en effet,

Danse des morts, danse des morts, fini l’ami
Dans c’décor, dans c’décor, fini l’ennui

Y a tant de bibelots Dans mon esprit pressé Images du passé Composées de grelots
J’ai vu des froids au cœur Plus stérile que la banquise Je ne souhaite que couleurs Et sable fin des îles Marquises
Issu d’ici, déçu Avec des cis et des ças Des superbes en dessous de soie Et des amis sous perfu
On canalise Le mauvais songe au cannabis On analyse, on banalise Mais rien ne s’oublie
Les erreurs, la jeunesse Le futur, les instincts Les spectres et leur dégaines d’esthètes Qui tiennent le train
Y a des mauvais souvenirs Qui un jour te côtoient Avec un langage courtois Un sourire de pacotille
Tu les croyais fumés Enterrés et bénis Mais ils sont venus t’plumer T’faire suer et t’punir
Le mouvement ne se gère plus Personne ne souris Les cœurs ont l’air gercés Et les esprits trop tendus
Quand j’croise la vie J’lui offre un bouquet Pour ouvrir le loquet De son cœur perroquet
Comme ça elle s’répète Comme ça j’vois v’nir
Ça m’rend un peu moins bête Quand j’cause avec mon av’nir