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Paroles officielles de la chanson «Titty Twister» : James Delleck

Compositeurs : James Delleck
Auteurs : James Delleck
Chanteurs : James Delleck
Éditeurs : Lili Louise Musique
Albums :

Paroles officielles de la chanson "Titty Twister"

Ici les corps et les âmes se déforment et s’enchevêtrent
Troublée tu contemples ta douce pudeur disparaître
La masse ondule comme un océan sous la surface
Tu surpasses tes impasses à chaque flux qui t’enlace
Chacun abandonne sa cuirasse du quotidien
Tous se brassent, à l’abri des péchés des « surfaciens »
La volupté t’enveloppe à l’excès, dans l’extase
C’est sur des torses que tes seins s’écrasent
Des inconnus te frôlent dans la foule en liesse
Le rythme t’enivre, tu transgresses
Sans frein, à chaque mouvement de bassin
Tu te sens partir toujours plus loin, quand arrivent les refrains

Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !
Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !

Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !
Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !

Quand la sueur s’exprime, la raison se taie
C’est quand la proie a peur, que le prédateur le sait
Les gens s’explorent du regard, les mots se susurrent
Ton corps est poussé jusqu’au point de rupture
Tes postures vont jusqu’à faire saliver les bouches
L’ange sans auréole se transforme en sainte qui touche
À demi-nue, tu ne peux plus te dominer
Damned, tu t’aventures au milieu de ce terrain pas déminé
Du lâché prise, tu n’en voulais pas tant
Tu trembles comme parcouru par un orgasme latent
Bercé au plus profond de l’irrépressible danse
Seules peuvent savoir celles qui ont déjà connu cette transe

Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !
Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !

Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !
Au Titty Twister
Vas y danse sale, danse salement, vas y danse sale !

Envoûtée, tu courbes ta croupe veloutée, tu n’écoutes plus tes doutes
Tes yeux larmoyants sont flouttés
La musique se déverse et perverti ta perception
Tu vois les murs suinter d’une étrange sécrétion
Dans ce chaos pris par l’ivresse des sons digitaux
Tu n’avais pas vu que les pieds de ces gens étaient des sabots
Derrière le rideau pourpre se trouve le chef des lieux
Bercée dans ce brasier, tu savoures ses caresses de feux !