Facebook

 

Paroles de la chanson «Les Enfants De La Grande Ville » par Nicolas Peyrac

Les enfants de la grande ville
N'ont pas le temps de voyager
Ils dessinent derrière leurs grilles
Des tas de pays oubliés
Des pays où les fleurs sauvages

Ne se faneront plus jamais
Des pays où poussent les arbres
Qui veillent sur tous les secrets

Les enfants de la grande ville
N'ont pas le temps de s'évader
Ils rêvent de femmes fragiles
A la peau douce et parfumée
Et quand il pleut dans leurs étoiles
Il fait bon vivre à l'infini
Au hasard de lointaines escales
Ils oublient le gris de Paris

Oubliez moi leur disait l'enfant
Oubliez-moi, moi je suis vivant

Les enfants de la grande ville
N'ont pas le temps de s'amuser
Leurs chevaux sont automobiles
Et leurs poneys abandonnés
Les quatre murs de leurs maisons
S'habillent de papier à fleur
Où ils dessinent les saisons
Avec des feutres de couleurs

Oubliez moi leur disait l'enfant
Oubliez-moi, moi je suis vivant

Les enfants de la grande ville
Parfois sautent du haut des tours
Pour se libérer de ces fils
Qui leurs interdisaient l'amour
Ils ne disent pas de prières
Mais ils gardent au fond des yeux
Un petit peu de la lumière
Qu'ils n'avaient pas trouvé chez eux

Oubliez moi leur disait l'enfant
Oubliez-moi, moi je suis vivant

 
Publié par 111232 4 5 7 le 18 mai 2025 à 18h28.
Et La Fête Est Finie
Chanteurs : Nicolas Peyrac

Voir la vidéo de «»

Dire «merci» pour cette traduction Corriger une erreur
 

Vos commentaires

Aucun commentaire pour le moment

Caractères restants : 1000