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Paroles de la chanson «La Nuit Des Conquistadors» par Hugues Auffray

Il est déjà six heures et la pendule pleure
Ou serait-ce un Ă©lan du cƓur
DĂ©jĂ  presque sept heures et l’orage menace
Ou serait-ce un ange qui passe

Comme un frisson dans l’air
Sous un soleil d’hiver
L’enfant aux yeux d’or
RĂȘve dans son dĂ©cor que j’en veux
Aux conquistadors

Il est déjà huit heures et le piano résonne
Ou serait-ce un clocher qui sonne
DĂ©jĂ  presque neuf heures et la soirĂ©e s’avance
Tandis que passe une ambulance
Sous une pluie averse las des vents solitaires
Corsaire sans trésor
Tu cherches un havre dans ta jungle
Aux conquistadors

Il est déjà dix heures et la nuit tombe vite
Serait-ce l’envie qui me quitte
J’entends filer les heures les minutes qui coulent
Serait-ce un sanglot dans la foule
Dans un monde désert sous ses phases éphémÚres
Au pied du Bouddha tu maudis les lois de la jungle
Aux conquistadors

Il est déjà minuit et les milles lunes te couvrent
Serait-ce le compte Ă  rebours
Il est déjà minuit et la pendule pleure
Ou serait-ce un arrĂȘt du cƓur
Ou la nuit

 
Publié par 116934 4 5 7 le 21 octobre 2025 à 6h53.
Chacun Sa Mer !
Chanteurs : Hugues Auffray

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