Facebook

 

Paroles de la chanson « La Tour Eiffel» par Nicolas Peyrac

La Tour Eiffel existait depuis presque trente ans
Messieurs Coste et Bellonte jouaient à saute-océan
Dans les allées du Bois à cheval sur deux roues
Des jeunes filles en fleurs laissaient voir quelquefois leurs genoux

Et notre siècle n'était encore qu'adolescent
Et Monsieur Carpentier s'habituait à ses gants
C'était l'entre-deux-guerres mais on ne savait pas
Qu'un fou nommé Hitler pousserait sa folie jusque là

Mais en attendant on chantait
Les années folles commençaient
Et d'Amérique d'autres musiques s'en venaient
Mais en attendant on dansait
Les années folles commençaient
Et l'Amérique, nos rengaines, fredonnait

La Tour Eiffel relayait la radio quelquefois
Monsieur Charles Lindbergh commentait son exploit
Au large de Terre-Neuve reposait Titanic
Monsieur Charles Dullin saluait le public à Paris

Mais en attendant on chantait
Les années folles commençaient
Et d'Amérique d'autres musiques s'en venaient
Mais en attendant on dansait
Les années folles commençaien
Et l'Amérique, nos rengaines, fredonnait

La Tour Eiffel est debout depuis presque cent ans
Les rives de la Seine sont fermées aux passants
Il ne reste presque plus rien à conquérir
De temps en temps j'ai presque envie de revenir

En ce temps là, la la la la la la la

 
Publié par 113093 4 5 7 le 2 juillet 2025 à 12h26.
Je T'aimais, Je N'ai Pas Changé
Chanteurs : Nicolas Peyrac

Voir la vidéo de «»

Dire «merci» pour cette traduction Corriger une erreur
 

Vos commentaires

Aucun commentaire pour le moment

Caractères restants : 1000